La Famille

Publié le par Lux

 

I.    Ce que nous avons à démontrer :

Ø      La Famille, cellule de base de la société, est un fait naturel et un bienfait vital.

Ø      La démocratie, par sa philosophie libérale, c’est à dire individualiste, est anti-familiale. Elle ne reconnaît à la famille aucune existence juridique, ni politique, ni économique.

Ø      Les signes de désagrégation se multiplient.

II.  Ce que nous avons à proposer :

1.     Une attitude normale de l’Etat face à la famille :

Elle consiste à dire : A vous famille de construire votre bonheur, de créer votre unité et de tisser les liens de votre harmonie. A nous Etat de ne pas empêcher ce bonheur. Nous n’avons pas à organiser votre vie, à planifier votre fécondité ou à conduire les fils de votre destiné familiale. Tout cela vous revient de plein droit et n’est pas de notre compétence. Mais à nous, Etat, de créer les conditions extérieures indispensables à votre épanouissement. A nous d’aplanir les obstacles et d’alléger les charges.

 

2.     Les axes d’une politique « familiale » qui ne soit pas seulement « nataliste », mais qui consiste à adapter la société aux exigences de la communauté familiale :

Ø      D’abord que la famille soit reconnue pour ce qu’elle est : cellule de base de la société et de l’éducation. C’est d’abord une question d’honneur, de dignité que doit cultiver l’esprit public.

Ø      Rôle éminent à cet égard de la culture : favoriser ce qui honore la famille ; n’apporter aucun soutien public à ce qui la déshonore

Ø      C’est toute l’organisation sociale qui doit être pensée en fonction de la Famille, et non en fonction des individus. Organisation du travail, urbanisme, hôpitaux, loisirs, lois, fiscalités, etc..

Ø      L’école doit être remise à sa place d’auxiliaire de la famille, aux choix des familles.

Ø      Des systèmes judicieux de salaires, d’allocation familiales, de fiscalité, d’assurances doivent favoriser d’une part le rôle de la mère de famille, d’autre part la constitution de patrimoine familiaux, etc..

 

3.     La condition politique préalable a cette politique « familiale » :

La mise hors d’état de nuire de l’Etat républicain individualiste et son remplacement par le régime le plus familial qui soit : la Monarchie.

 

 

 

Publié dans Formation politique

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